Enfin, malgré cela, je ne me décourage pas. Nous en sortirons peut-être.
Je reviens à Henriette .
Prends-la, je t’en prie, cela est urgent ; Anastasie serait obligée de la mettre chez des étrangers, car elle part dans une dizaine de jours. Cela est très sérieux.
Et Sœur , va-t-elle mieux ? Et toi ? Et Père ? Donne-moi de tes nouvelles le plus tôt possible.
Je vous embrasse tous très affectueusement.Ton fils dévoué
(P.S. : ) Je ne serai tranquille que lorsque Henriette sera chez vous.
Si par hasard, le départ d’ Anastasie était retardé, tu lui laisserais voir Henriette au moins tous les dimanches, n’est-ce pas ? Mais du reste cette recommandation est inutile, car elle doit partir. Je lui dis de faire porter chez toi mes [...]