Ne te préoccupe pas de la position de Mère et de Sœur , j’y pourvois et j’y pourvoirai.
Réfléchis bien à mes paroles. Si tu foules aux pieds mes conseils, tu ne seras plus qu’un étranger pour moi.
Je ne fais pas de sentiment, mais j’avais d’autres idées, d’autres espérances, j’avais pour toi une affection sincère, dévouée. Me rendras-tu la confiance que je n’ai plus, pour parler avec franchise, et sans laquelle affection de famille et amitié ne sont plus rien ? Je voudrais l’espérer.
Dis-moi par une lettre diserte ce dont tu as besoin, je te le ferai parvenir aussitôt que cela me sera possible.
J’attends ta réponse.Ton frère qui
voudrait rester ton ami