Je ne sais pas si tes affaires industrielles ont réussi, si elles sont en voie heureuse. Écris-moi donc un mot à ce sujet le plutôt que tu pourras.
Tu as peut-être vu Isidore Gent qui est parti dernièrement pour Londres. Il m’avait demandé ton adresse, mais l’ignorant, je n’ai pu la lui donner.
J’attends ta lettre avec une vive impatience. Jamais les nouvelles, les lettres d’un bon frère, ne me seraient aussi agréables et cependant j’en suis privé.
Espérons que nous nous reverrons un jour et en attendant, je t’embrasse bien fraternellement. Tout à toi de cœur